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Benvenuti in queste pagine dedicate a scienza, storia ed arte. Amelia Carolina Sparavigna, Torino

Tuesday, April 26, 2011

Landforms of Titicaca: Near Sillustani

18 p. Landforms of Titicaca: Near Sillustani, Book by A.C. Sparavigna

Terraced hills, a network of earthworks, sometimes creating geoglyphs,
 and ancient ruins are the structures we can observe with the satellites 
imagery of Google Maps. After the previous publications on the
 earthworks and geoglyphs , let us survey specific area with more
 details. Here we show satellite imagery, enhanced with freely 
available image processing software, of the area near Sillustani,
 the peninsula of the Laguna Umayo, in Puno region of Peru. 
Besides Sillustani, interesting places are the 
Mesa Isla and Atuncalla.
Public Category: Research Reads: 286 Published: 10 / 27 / 2010

Landforms of Titicaca: Amazing land


18 p. Landforms Titicaca Amazing Land by AC Sparavigna

The areas of Huata, Coata and Paucarcolla, near the Titicaca Lake,
 are covered by amazing drawings. For these regions, Google Maps
 has enough high resolution to have a detailed survey.
In the book, the reader can see a show of images obtained
by enhancing the satellite imagery.
 Each image has coordinates and scale.

Public Category: Research Reads: 207 Published: 10 / 28 / 2010
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SCRIBD

Monday, April 25, 2011

Gutenberg printing goes nanoscale

"Gutenberg printing goes nanoscale
Researchers in Australia and the US have developed a new way to print nanoparticle arrays. The technique, which is inspired by Gutenberg book printing, could be used to mass-produce nanotechnology components for solar cells, biosensors and other electronics devices."

Sunday, April 24, 2011

Llama near Titicaca


Near the shore of Titicaca Lake, we find a large area covered by the "raised fields", which are earthworks of an ancent agricultural system, created in the Pukara period, quite before the Inca domination. The raised fields are  arranged in a complex hydraulic system. We can observed it with the satellite (Google Maps).
 With an image processing of the maps, the ancient agricultural system appears with all its beautiful structure and complexitiy.
Sometimes the raised fields assume symbolic forms.
For instance, the muzzle of a llama


It is seems a mouth touching the river (the white bend, white because the water is reflecting the light of sun), the nose, eye and ears. For comparison, a llama picture.



More on waru-waru
arXiv:1009.4602 [pdf] Geoglyphs of Titicaca as an ancient example of graphic design, Amelia Carolina Sparavigna
arXiv:1009.2231 [pdf] Symbolic landforms created by ancient earthworks near Lake Titicaca, Amelia Carolina Sparavigna

Snake

Image from Google Maps after processing to enhance details.
Near the Titicaca Lake, Peru.

This image shows a small area covered by a network of waru-warus, that is, of the "raised fields" - earthworks separated by canals - near the Titicaca Lake. This is an ancient agricultural technique used by Andean people starting from the first millennium BC. Note that the structure of the network is created after a careful planning. Each raised field is approximately 10 meters large and more than one hundred long.

It seems a snake, the pond as its eye and a bifid tongue.
To see the forked tongue it is necessary a zoom on the head and a filtering with wavelets to enhance the details.



More on waru-waru
arXiv:1009.4602 [pdf] Geoglyphs of Titicaca as an ancient example of graphic design, Amelia Carolina Sparavigna
arXiv:1009.2231 [pdf] Symbolic landforms created by ancient earthworks near Lake Titicaca, Amelia Carolina Sparavigna

Friday, April 22, 2011

"Around the World" in ancient agriculture

There is a beautiful book by Éric Mollard, Annie Walter, Éditeurs scientifiques. The title is "Agricultures singulières", IRD Éditions, Institut de recherche pour le développement, Paris, 2008.
It is an "around the world" in ancient agricultural techniques.
Let me report a small part of this book.

Les qochas de l’Altiplano
En langue quechua, le terme qocha désigne les lacs, les cuvettes, les étangs et, de façongénérale, tout bassin inondé artificiel ou naturel, toute dépression à la surface du sol. C’est également le nom donné à un type d’assiette cérémonielle en céramique. Les qochas (ou cochas suivant les graphies) sont des cuvettes naturelles ou creusées par les hommes, reliées entre elles pour former un véritable système hydraulique. Le terme
désigne à la fois un unique bassin et le système dans son ensemble. Les terrains qui les séparent ne sont pas cultivés mais dédiés à l’élevage. Les qochas sont l’un des nombreux systèmes de gestion des eaux et du sol qui ont permis aux anciennes populations andines de cultiver la terre et de survivre. On trouve les qochas dans de rares régions des Altiplanos péruvien et bolivien, à une altitude moyenne de 4 000 mètres. Ils sont très nombreux et denses dans le département de Puno (Pérou) où ils ont été découverts et bien documentés...


Les  qochas sont des dépressions, aménagées par les hommes selon trois formes de base. Les plus fréquentes sont rondes et mesurent de 30 mètres à 200 mètres de diamètre pour une superficie moyenne de 6 000 m2. ...La qocha sert alternativement de champ de culture, de pâturage et de réservoir d’eau. ... On y cultive avant tout la pomme de terre ainsi que la cañihua (Chenopodium pallidicaule) et la quinoa (Chenopodium quinoa), l’avoine, l’orge et le bléparfois en rotation. La qocha supporte des cultures de pomme de terre la première année, de quinoa la deuxième année, d’avoine et d’orge la troisième année puis suit une jachère pâturée de durée variable. La taille d’une qocha est généralement exprimée en masa, c’est-à-dire en surface labourée en un jour par une équipe constituée de deux hommes et d’une femme. Le rendement est d’environ une tonne par masa. Le système permet une régulation souple de l’eau de pluie dans une région qui doit faire face à une succession de fortes sécheresses suivies d’inondations....
Le système des qochas est sans doute l’agriculture de l’Altiplano, autour du lac Titicaca, la moins étudiée si bien qu’il existe peu de références à son sujet. Cela s’explique en partie par le fait qu’au XVI e siècle, elles étaient situées en dehors des voies de passage principales. Plus tard, les lignes de chemin de fer ont traversé ces larges dépressions peu profondes, sans que les voyageurs puissent les remarquer, au premier coup d’œil. Ce n’est qu’en 1962 qu’elles ont été mentionnées pour la première fois, par des étudiants en archéologie qui travaillaient dans le Puno, alors même que beaucoup d’entre elles étaient encore en activité. Elles sont d’origine préincaïque comme en témoignent les tessons découverts à proximité. Bien que le système soit vraisemblablement antérieur, il est associé au site Pukara.
Pukara a été un centre de peuplement important durant des centaines d’années depuis 1 300 avant  J.-C. puis il est devenu, entre 250 avant J.-C. et 380 après J.-C., un important site religieux, densément peuplé. Une société fortement hiérarchisée y tenait de grandes cérémonies et a été capable d’assurer une gestion centralisée de l’eau. Mais certains auteurs suggèrent que l’aménagement et la maintenance des structures agricoles, dont les qochas, ont été tout aussi bien mis en œuvre par des groupements communautaires locaux. Même en supposant que les paysans aient utilisé des
dépressions existantes dans lesquelles l’eau de pluie s’accumulait, il est certain qu’une grande maind’œuvre et une longue période de temps ont été nécessaires pour aménager ce système complexe sur une grande étendue. Outre les qochas, cette civilisation a aussi construit d’importants ensembles de champs surélevés (ERICKSON, 1994). Puis, le site a été progressivement abandonné avec la montée en puissance de Tihuanacu avec laquelle Pukara a entretenu des liens commerciaux et sociaux. Cette civilisation andine qui a étendu son influence jusqu’au nord du Chili, a pratiqué une agriculture fondée sur la construction des terrasses (andenes), des champs surélevés (camellones) et aussi quelques  qochas. Mais elles sont peu développées dans la vallée de Tihuanacu, sans doute parce que leur capacité de production est insuffisante pour une nombreuse population. Après la chute de Tihuanacu, en l’an 1000, le site de Pukara a été de nouveau occupé et les qochas utilisées. La région a traversé à
cette époque une longue période de sécheresse qui a pu rendre l’utilisation des qochas indispensable pour la survie des populations locales. Plus tard, les Huari puis les Incas ont développé des systèmes renommés de terrasses mais les qochas ont continué à être cultivées, en complément de  l’agriculture de pente. La conquête espagnole a par la suite entraîné une grave dépopulation locale qui a conduit à l’abandon partiel de toutes les structures agricoles mais les  qochas, toujours utilisées par quelques groupes, ont réussi à traverser les siècles, les guerres et la colonisation. Elles apparaissent donc comme des structures complémentaires à celles qui soutiennent l’agriculture principale et se développent quand les conditions environnementales (naturelles ou sociales) fragilisent l’agriculture et les communautés locales.
Aujourd’hui, des secteurs entiers de  qochas ont été abandonnés ou détériorés soit pour des raisons de salinité des sols, soit à cause d’une mécanisation imprudente dans les secteurs d’haciendas. Mais elles occupent encore plus de 250 km2, avec une densité d’environ 100 qochas au kilomètre carré. Au total, plus de 20 000 cuvettes sont actuellement utilisées de façon intensive par les populations andines
contemporaines. Elles ne sont pas les seules structures agricoles de la région et les communautés locales cultivent aussi les pentes, aménagées en terrasses (andenes) et construisent des  camellones (ici appelés waru-waru).

Ñawis

L'Associazione  Liberi Viandanti propone un'interessante sintesi dell'arte spirituale andina, a cura di Gianmichele Ferrero et al. alla pagina
http://www.liberiviandanti.it/liberiviandanti/?page_id=12
"Il nostro corpo energetico possiede una serie di centri di percezione. Nella Tradizione andina sono chiamati Ñawis, che letteralmente significa “occhio”. Le potenzialità latenti relative agli Ñawis vengono attivate con precisi riti.
Ogni centro si connette con una qualità particolare di energia del cosmo.
Il Pujyu non è  considerato un occhio vero e proprio, ma piuttosto una fonte. Si trova nel luogo dov’è la fontanella dei neonati e riceve il Kausay sotto forma di luce bianca
Il Siki ñawi, è situato sull’osso sacro, alla base della colonna vertebrale, ed è collegato con Unu, l’energia dell’acqua di colore verde.
Il Qosqo ñawi, nella regione ombelicale, è collegato a Allpa, l’energia della terra, che ha un colore rosso.
Il Sonqo ñawi, si trova sul petto all’altezza del cuore, ed è collegato ad Inti, il sole con una luce dorata.
Il Kunka ñawi, è nella zona della gola ed è collegato all’energia argentata di Wayra, il vento.
I due occhi fisici, anch’essi considerati centri, sono collegati il destro al potere della visione mistica e il sinistro al potere della visione magica.
Leggermente in alto fra le sopracciglia, è il Qanchis ñawi, che riceve normalmente un’energia viola proveniente dall’Hanaq Pacha, che da accesso al mondo della visione superiore ."

Kausay Puriy

L'Associazione  Liberi Viandanti propone un'interessante sintesi dell'arte spirituale andina, a cura di Gianmichele Ferrero et al. alla pagina
http://www.liberiviandanti.it/liberiviandanti/?page_id=12
"La Tradizione andina prende il nome di Kausay Puriy che significa “imparare a camminare insieme all’energia vivente”. che significa “imparare a camminare insieme all’energia vivente”. L’energia vivente è sovrabbondante, tutti i fattori della realtà la emanano secondo la loro propria fisionomia. Semplicemente aprendoci a percepirla, il nostro essere può arrivare a nutrirsi a sufficienza per poter sviluppare le sue potenzialità più elevate.... La Tradizione andina supera il malinteso della dualità positivo-negativo interpretando l’energia scomoda di un’altra persona o la propria in termini di differenza di spessore e di gravità, usando il nome di samiy per l’aspetto leggero e sottile dell’energia e di per l’aspetto leggero e sottile dell’energia e di jucha per quello pesante. Tutti gli esseri viventi e gli elementi della natura producono samiy. Noi umani siamo gli unici a generare jucha quando ostacoliamo il flusso dell’energia vivente."
Molto interessante.

Hands on earthworks


Earthworks near Titicaca Lake
These earthworks are known as "raised fields" and "waru-warus".

The image, obtained from Google Maps, shows the network of earthworks separated by canals - near the Titicaca Lake (Huata, Puno, Peru). This is an ancient agricultural technique used by Andean people starting from the first millennium BC. Note that the structure of the network is created after a careful planning. Each raised field is approximately 10 meters large and more than one hundred long.

Let us rotate a part of the image and enhance it.


A "hand"?


More on waru-waru
 arXiv:1009.4602 [pdfGeoglyphs of Titicaca as an ancient example of graphic design, Amelia Carolina Sparavigna
 arXiv:1009.2231 [pdfSymbolic landforms created by ancient earthworks near Lake Titicaca, Amelia Carolina Sparavigna

Solar power without solar cells - physicsworld.com

"Physicists in the US believe that it is possible to generate solar power without solar cells. Their "optical battery" idea, which would involve performing the energy conversion inside insulators rather than semiconductors, could make for a far cheaper alternative energy source than existing solar-cell technologies."
Solar power without solar cells - physicsworld.com